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Plusieurs géants des cosmétiques militent pour la mise en place d’un système de notation de l’impact environnemental des produits de beauté

Les français L’Oréal (siège à Paris /75 – holding – conception, fabrication de produits cosmétiques – effectif : 6900 – CA légal 2020 : 4 837 000 000€) et LVMH (siège à Paris /75 – holding – industrie du luxe : vêtements, maroquinerie, joaillerie, hôtellerie, vins et spiritueux, médias – effectif : 36 – CA légal 2020 : 316 000 000€), l’allemand Henkel (siège français à Boulogne-Billancourt /92 – fabrication de produits d’entretien – groupe Henkel – effectif : 427 – CA légal 2020 : 791 761 330€), l’anglo-néerlandais Unilever (siège français à Rueil-Malmaison /92 – vente de produits de grande consommation – effectif : 869 – CA légal 2020 : 2 008 162 471€) et le brésilien Natura &Co (siège à Sao Paulo, Brésil – conception, fabrication de produits cosmétiques) ont annoncé le 20 septembre leur association, afin de développer ensemble un système de notation sectoriel de l’impact environnemental des produits de beauté. L’opération vise à apporter aux consommateurs plus de transparence dans ce domaine. Les cinq partenaires ont invité les autres acteurs de la cosmétique à rejoindre leur initiative.